9683
Étude de la marche des F1 et F2 au point de vue rejet de poussières
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Il ressort du tableau suivant que la production de poussières croît d’une façon continue depuis la mise à feu des deux grandes unités (il n’est pas tenu compte ici des périodes qui ont suivi directement les allumages).
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F1 |
1930 |
1931 |
1932 |
1933 |
1934 |
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Poussières à la tonne du lit de fusion (sans racaille ni fonte passée) |
95 k |
96 |
103 |
115 |
137 |
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Poussières à la tonne (sans racaille ni fonte passée) |
355 |
340 |
371 |
438 |
520 |
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F2 |
1929 |
1930 |
1931 |
1932 |
1933 |
1934 |
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Poussières à la tonne du lit de fusion (sans racaille ni fonte passée) |
88 |
96 |
87 |
89 |
108 |
139 |
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Poussières à la tonne (sans racaille ni fonte passée) |
322 |
362 |
311 |
318 |
396 |
530 |
Les rejets à la tonne de fonte ont augmenté, par conséquent, d’environ 46% au F1 et 64% au F2.
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9684
Nous admettons l’existence de deux sortes de poussières : les poussières d’étalages, les plus importantes à notre avis, et les poussières de cuve.
a) poussières d’étalages. Ce sont évidemment les plus fines ; elles sont d’autant plus fines que leur degré de réduction est plus avancé, donc qu’elles sont plus riches en Fe O.
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9705
Lorsqu’en 1929 le F2 faisait 300 t. de moyenne avec , il est vrai une petite addition de scories de l’Yonne, il n’expulsait que 90 à 95 t. de poussières par jour. Il en a expulsé plus de 160t. pour une marche à 290t. en décembre 1934. Il y a donc quelque chose d’anormal dans le HF qui ne correspond pas purement et simplement à soc profil.