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V1 _ APPROVISIONNEMENTS.
Combustibles·: quantités: et prix··:·
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M • Mailla-rt expose que l'approvisionnement en coke et en charbc:nsà coke est assuré, mais qu'il n'en n'est pas· de même
pour les combustibles d'agglomération en raison de 'la défection des fournisseurs français. Ce problème se trouvera considérablement aggravé à partir de la mise en service de la nouvelle agglomération de jq om ba s et nous devrons alors importer des tonnages de l'ordre.de 500. 000 t/an. En prévision de cette situation, M. Maillart a négocié
une livraison d1essai de 15. 000 t de charbon sud-africain dont l'utilisation devra être surveillée tout particulièrement de manière à permettre
la mise au point ultérieure d'une qualité mieux adaptée à nos besoins.
En matière de prix, l'écart entre fuel et coke vient de . s'accentuer fortement à la suite de la dévaluation, et de la hausse âu prix départ Ruhr. Il s'aggravera encore lorsque interviendra la hausse des cokes français - de l'ordre de 12 à 17 F - et lorsqu' '!-ura été décidée
la récupération de la T.V. A. sur les combustibles liquides. Il ne faut pas oublier enfin que le prix des cokes allemands augmentera encore
au 1er janvier 1970.
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M. Ficheroulle indique que les essais d'injection de fuel
à taux élevé entrepris à Hayange n'ont pas donné les résultats escomptés et que ceux qui ont été entrepris à Homécourt sont plus encourageants mais qu'ils nécessiteront encore une mise au point peut être longue.
En conséquence. il a ét~ décidé de s'en tenir pour l'instant au procédé classique d'injection et de généraliser celui-ci, d1ici la fin de 1970,
sur tous les hauts fourneaux qui doivent être maintenus en service.
M. Maillart signale encore que les contrats avec
les armateurs pour les transports sur la Moselle ont été renouvelés· Avec les armateurs français la hausse a été limitée à environ 5 1°
ca.r il avait été prévu que les prix français ne pourraient pas dépasser les prix étrangers. Depuis lors, la dévaluation est intervenue; M. Meyer a entrepris d'en chiffrer l'incidence.
Couverture des besoins en minerai siliceux.
M. Siffre, introduit en cours de séance, estime qu'il n'y a pas à revenir sur la décision prise au cours de la derniè·re réunion d1abandonner le projet consistant en la remise en exploitation
,:lu gisement de la Mourière par Joudreville et cela malgré que Joudreville ait renoncé à nous demander la couverture de 2 MF d'investissements Jugés' nécessaires. M. Siffre confirmera cette décision à M. Fourt.